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Bonjour, je suis l'auteure de la VDM. Merci pour vos messages de soutien, mais je le vis bien. Un sourire de la petite puce, et les démangeaisons qui me rendaient folle juste avant sont oubliées ! Mais honnêtement, je ne souhaite à personne de connaître ça, c'est atroce (réveil la nuit pour se gratter, énormes plaques rouges qui brûlent tellement ça démange, apparition et disparition sans raison apparente, le bonheur quoi !). Et non, je n'échangerai pas ma fille ! ;)

Allez hop, je viens de me créer un compte pour développer cette aventure assez cocasse. Malheureusement non, ce n'est pas un fake. D'ailleurs, j'ai eu le nez creux sur le coup en appelant une collègue à la rescousse. Le monsieur partait donc en bougonnant et je l'ai rattrapé in extremis en m'excusant d'être nouvelle dans le service et lui promettant qu'une collègue plus aguerrie pourrait l'aider bien mieux que moi. (Là clairement, on remise son ego et on refile le bébé avec humilité). Collègue qui est arrivée tout sourire ... pour rigoler jaune dans la foulée, pensant au passage que je lui faisais une blague avec la complicité d'un ami. Le monsieur a été finalement reçu après 10 minutes de recherches intensives, mais ni par Emile ni par Victor ;) Et surtout sans pour autant avoir été vexé, bref : mission accomplie ! L'anecdote, racontée par la collègue patentée en question, a fait le tour de l'organisme en moins d'une journée. Depuis, j'ai toujours une tendresse particulière en pensant à ce monsieur, quinqua, un peu déboussolé et définitivement différent de la "masse". Pour répondre à la question concernant la logique de sa réaction, je crois qu'il ne faut pas chercher trop loin. Il avait RDV avec Zola, rien ne pouvait l'éloigner de cette certitude, mais l'annonce de sa mort était un paramètre qu'il ne pouvait contrôler et j'espérais ainsi obtenir une sorte de tilt salvateur. J'ai misé dessus et cela a presque fonctionné. Presque, parce que le sprint en talons pour le récupérer avant la porte d'entrée, je m'en serais quand même bien passée ! Pour finir, merci à ceux qui m'ont fait hurler de rire avec leurs commentaires spirituels.